En automne le passe semble doux et proche au sein On arrive ceux qui sont jamais et ceux qui Seront jamais ma peine. On s'est assis, bavardait, pleurait Le ciel cachait un peu de taches bleues entre les nuages. ça arrive en automne. Quelquefois on se casse du passe et l'on est follement égaré, Doucement, follement égaré. Mama! J'en ai marre. Tu sais, quelqu'un coupe un trou dans ma tête pour la pellicule parfaite – Noire et blanche en place du vive. Rappelé-toi, comme ça arrive en automne. Hier matin, j'ai vu les tours brumeuses et grises, ses fenêtres Suivent comme des yeux de gosse. L'horreur soudaine me saisit. Tu sais, comme la frénésie folle, je perds tout. Je suis en train D'aller au métro, de ne voir rien de ce trou ou j'serai longtemps.
Maintenant, je sais comme ça arrive en automne. Je démands. Qui l'entend jamais répond.
L'automne fait tout jaune. Les taches bleues étaient ignorées. J'ai demande – ou? Et quand? Y a du corail dans ce fond d'or? Quelqu'un répondait NEA: sourire courbe, gâté J'ai vu tout est en vain. Rate! L'inverse n'était pas mate. Kap-kap-kap! Comme des larmes des yeux de Marussia Les gens trémps sont tous seuls. Soit ils pleurent, soit ils rigolent Comme les veillards traînent les pieds les taches Bleues laissent le ciel en nuit. Tu sais, comme ça arrive. Au saut périlleux les feuilles bondaient comme au cirque Des pluies, des clones de goutes d'eau, tombaient vite. On pouvait dire que Les étoiles jaunissantes se sont éteintes, en m'attendant Mes taches bleues dansaient cancan, la danse de nuages malins.
Maintenant, je sais comme ça arrive en automne. Je demands. Qui l'entend jamais répond.
Encore le silence durait. J'ai froid un peu. Le matin grisait Sur l'asphalte blanc et pure (Merde, quoi faire?) j'allais chez moi. Neige et moi, nous savions pas: quest-ce qui se passe? Pourquoi? Tous ses mots qui jamais sonnaient… au microphone...