Émilie: Emile est toujours dans sa chambre. Encore une fois le poison a opéré et mon fils, étendu sur son lit, jette dans un carnet des horreurs qui me tuent. Autrefois il me donnait des poèmes qui me ravissaient, maintenant, parce qu’il a honte, parce qu’il a peur, parce qu’il m’aime, il me cache les produits corrompus de son imagination malade.